"Notre Père, notre Roi" Ce piyout est très anciens, il accompagne non seulement toutes la période des Slikhot et de Tishri, mais également les différents moments "dramatiques" de l’année liturgique juive (jeûnes).
On le signale partiellement déjà dans le Talmud (Taanit 25b)
D’un point de vu mystique, il invoque les deux dimensions spirituelles classiques, le Hessed (bonté), celle du père et le Din (rigueur de la justice), celle du roi. Elle invite l’individu a recréer cet équilibre en (…)