Cette question a été traitée par de nombreuses autorités religieuses depuis le XVIIe siècle. De façon schématique, elles peuvent être classées en trois catégories : celles qui interdisent aux femmes de réciter le Kaddich, celles qui le leur permettent dans certaines conditions, et celles qui les y autorisent dans tous les cas.
Nous montrons ci-dessous qu’aucune réserve inhérente à la Halakha ne s’y oppose. Tous ceux qui défendent aux femmes de réciter le Kaddich, à la mort de leurs (...)