Le parcours emblématique d’une journaliste de télé vers le radicalisme Braslav.
Elle avait le sourire le plus ravageur de la télévision israélienne. Son émission sur la chaîne 2 l’avait propulsée au rang d’emblème de la jeunesse hédoniste de Tel-Aviv. Croqueuse d’hommes, fashion victim, pilier de bars et des boîtes de la rue Allenby, Noa Yaron-Dayan s’était fixé pour devise de vivre vite et fort. Douze ans plus tard, la reine des nuits de Tel-Aviv s’est muée en une respectable mère de six (…)