Dans cet ouvrage, l’historien met en avant « le rôle central d’Hitler et son obsession pour la question juive ».
Le plus saisissant dans la démonstration de Saul Friendländer tient à ce que Hitler, à l’égard des juifs, ne modifia jamais sa stratégie, même s’il s’autorisa des replis tactiques en fonction des circonstances : les actes extrêmes suivirent les pensées radicales, les paroles de la mort, camouflées ou non, étaient la mort elle-même.
D’après Saul Friedländer, si « cette usine (...)